HAL8999
Jusqu’à quel point les œuvres d’art médiatiques, et en particulier celles du réseau, peuvent-elles, au regard des effets sur la réception, être réparées, dupliquées, émulées, migrées, virtualisées, réinterprétées, cultivées, en passant d’une machine à une autre ou encore d’un média à un autre ?
Une expérimentation consistant en l’étude, dans un premier temps, de huit oeuvres d’arts médiatiques et de leur réception. Les oeuvres sont étudiées grâce à quatre versions différentes : – Les oeuvres sont activées dans le respect le plus strict de leur conditions matérielles d’origine – Si cette activation est impossible, mise en oeuvre d’un second original (duplication) – Mise en oeuvre d’une version émulée, migrée, virtualisée ou cultivée – Mise en oeuvre d’une version réinterprétée, adaptée à l’éco-système médiatique actuel
Les œuvres : “Angelino” d’Albertine Meunier, “.jpg printing” de Jacob Riddle, “Le critique automatique” d’Antoine Schmitt, “Counter” de Grégory Chatonsky, “Fascinum” de Christophe Bruno, “Les Secrets” de Nicolas Frespech, “Logiciel DOEK” d’Annie Abrahams …